Satire : Nouvelle traduction de Mon Nom est personne d’Alexander Moritz Frey
Après une pause de quelques années bien méritée, les éditions strasbourgeoises La dernière goutte publient une nouvelle traduction de Mon Nom est personne de l’allemand Alexander Moritz Frey. Ce roman satirique de 1914, aussi drôle que mordant en diable, valut avec d’autres l’exil à son auteur. Un mystérieux étranger se faisant appeler Solneman se paye, rubis sur l’ongle, le parc municipal d’une petite ville pour y vivre à l’abri des regards. Il érige pour cela une muraille de 30 mètres de haut, attisant la curiosité mal placée des habitants. Preuve que l’enfer, c’est les autres.
Paru chez La dernière goutte (20 €)
ladernieregoutte.fr