Last but not least : Pendentif

Pendentif, pop bordelaise pas bling-bling

Dernière fois où vous vous êtes jetés à l’eau.
Mi-août à Hendaye, à la frontière espagnole, pour tourner le clip de God save la France.

Un air estival souffle sur votre premier album qui sort seulement maintenant. Vous n’avez pas eu le dernier mot par rapport au timing.
Nous aurions préféré qu’il sorte cet été, mais la maison de disques avait besoin de faire son travail en amont.

La dernière fois que vous avez joué en première partie d’Indochine, comment a réagi le public.
Très bien : les fans d’Indochine attendent devant la salle pendant huit heure avant l’ouverture des portes… alors, dès les premières notes, ils sont au taquet.

Le fonctionnement de votre quintet a l’air très démocratique, mais il y a sans doute des prises de bec… Quelle est la dernière.
C’était il y a longtemps, par rapport au choix d’un restau.

Nous avons des goûts en commun : Real Estate, Toro Y Moi, MacDemarco, Chromatics… Quel est votre dernier coup de cœur.
Ducktails : il y a une nonchalance qu’on apprécie.

Dernier verre de Bordeaux dégusté.
Hier soir nous avons bu un Saint-Julien Château Lagrange 2008 avec des cèpes cueillis par nos soins.

Dans la vidéo de Jerricane, on vous voit casser plein de trucs et faire n’importe quoi. Dernière fois où vous êtes conduits en adultes responsables.
Quand on a signé notre contrat avec Discograph.

Dernière personne embrassée.
Barbara Carlotti qui nous a invité à son émission sur France Inter : c’est une super nana comme dirait Michel Jonasz.

Dernier album.
Mafia douce, édité par Discograph – www.pendentifmusic.com

À Strasbourg, à La Laiterie, jeudi 21 novembre (avec Granville)
03 88 237 237 – www.artefact.org
vous pourriez aussi aimer