Forever Pavot
Last but not least : Forever Pavot, compositeur de BO imaginaires
Dernier instrument vintage acheté.
Un Wurlitzer 106 trouvé sur eBay : un piano électrique utilisé à la fin des 60’s par les Beach Boys ou les Beatles. Il n’y en a que 400 dans le monde.
Le hip-hop est votre premier amour. Quel est le dernier.
Je ne m’intéresse pas tant que ça à la musique actuelle, mais j’adore le dernier album de Timber Timbre. J’aime beaucoup sa production, assez proche de celle de Morricone.
On fait souvent l’analogie entre votre univers et celui d’Ennio Morricone, de François de Roubaix ou Jean-Claude Vannier. Dernière comparaison flatteuse.
Elle concerne mon physique : on m’a dit que je ressemblais à Ryan Gosling. Les yeux, peut-être…
Dernière éruption volcanique vécue ? C’était peut-être au sein d’Arun Tazieff, votre formation précédente.
C’est récent : je rentre de Montréal où j’ai tourné un clip pour The Shoes, en extérieur, par -35°. Le contraire du volcan… Le pitch de la vidéo ? La revanche des poulets !
Vous avez réalisé des clips pour Dizzee Rascal, Alt-J ou Disclosure. On y voit des statues qui font des clins d’œil ou du mobilier de bureau se collant au plafond. Dernière trouvaille visuelle.
Je suis très fier de mon travail pour Disclosure : cet effet d’inversion de la gravité, dans le milieu de l’entreprise, avec un patron qui se comporte comme un gros enculé…
Dernière ivresse, sérieuse ou de pacotille.
Je ne bois pas, ne prends pas de drogues et ne sors pas beaucoup : je suis un rat de laboratoire rabat-joie.
La dernière fois qu’on vous a demandé quel film vous illustreriez musicalement.
On ne me l’a jamais demandé, mais je dirais Playtime ou Les Vacances de Monsieur Hulot. Tati est une grande influence pour moi.
Dernier album.
Rhapsode, édité par Born Bad
03 87 20 03 03 À Strasbourg, à La Laiterie, jeudi 11 juin 03 88 237 237